ESPORU
L’errance est une page blanche, un vide, une observation d’une fourmilière. J’observe, je cherche, je suis curieux du fonctionnement des autres. Mon regard est omniscient face à une scène qui se déroule devant moi, je suis parfois absent, j’ai le sentiment de ne pas exister... Je m’isole dans mes pensées, une sorte de brouillard d’idées, un monde photographiquement parallèle. C’est dans ces moment-là, que j’ai réalisé ces photographies. Il est à noter que ce travail a une unité de lieu. Il a été fait sur plusieurs années mais dans une même période «juillet-Août».